Motivation montre toi…

Hello à tous.

Pendant un moment, j’ai laissé mon ami alcoolo du 38 poster l’exclusivité des articles sur notre blog. Je suis prêt à tout aujourd’hui pour lui voler la vedette…

En quelques mots, je vous ai illustré le concept de motivation, élément indispensable au travailleur moderne pour se réveiller, enfiler ses vêtements et se coltiner deux à trois heures de transport pour avoir la joie de ne pas pointer au chômage.

Comment motiver ses collaborateurs ?

A ma connaissance il existe plusieurs leviers :

-La rémunération

-L’intérêt des responsabilités attribués

-Le maintien de conditions de travail propices à l’épanouissement et à l’émulation

-L’ambiance entre collaborateurs

J’en oublie certainement mais ceux mentionnés me paraissent les plus pertinents.

Certains d’entre nous sont toujours motivés et cela quoiqu’il arrive. D’autres (une grande part) espèrent recevoir des sources de motivation de leur management, qui la plupart du temps, est la personne pouvant activer ces fameux leviers.

Notre patron adoré a tout compris sur l’utilisation de ces leviers. Le problème est que sa probable dyslexie lui fait les activer dans le sens contraire à la motivation.

Voyez vous donc, il vient de créer un système de primes basé sur le hasard du tirage de dé ou de carte, avec des gains moyens suffisamment rachitiques pour faire un usage répété de sa main le soir.

Résultats des courses, des chanceux enviés et des poissards maudits. De l’art de diviser une équipe avec des gains non représentatifs des efforts consentis…A quoi bon se casser le cul ?

Quand l’activité bat de l’aile, il réinvente le concept de meeting au sommet pour remonter le moral de ses troupes. Je crois que son mail général de motivation  agrémenté d’une citation de son cru du genre « ce qui ne tue pas te rend plus fort » m’a ému au plus profond de mon for intérieur.

Pour rapidement évoquer, les responsabilités attribuées, vous pouvez relire l’article concernant notre procédure révolutionnaire du traitement des requêtes clients.

En un mot comme en cent, notre boss est un vrai nullard. Je pense que même si on devait se suicider dans son bureau avec une lettre de doléances, il jugerait qu’en hommage, il faudrait encore plus se pencher pour davantage nous enculer.

En tout cas, il n’est pas si con qu’on peut le croire, il a réussi à faire imploser la seule chose qu’il craignait, la cohésion de son équipe.

« Diviser pour mieux régner », vous connaissez certainement…